Course Eiffage Viaduc de Millau 2014 : les photos jusqu'au Viaduc
Après l'attente, ça y est, c'est à la seconde vague de partir. Je me trouve juste derrière les pompiers. Je prends une photo rapidement et fait coucou aux photographes.
Vu le monde, ça ne part pas très vite. Tant mieux pour moi, ça m'évite de vouloir aller trop vite au début et de peut-être me faire mal. Devant moi, il y a une vague humaine bleue.
On commence à apercevoir un joli paysage.
On tourne et on aperçoit au fond le viaduc ; petit frisson de plaisir en le découvrant dans l'axe de cette rue...
Je commence à essayer de me faufiler un peu, car je trouve que cela va un peu trop lentement pour moi.
Le public est nombreux le long de la route.
Première vision large du Viaduc. On est encore loin, mais il commence déjà à m'impressionner.
Cette foule qui court est assez impressionnante.
Le paysage aux alentours est vraiment très joli. En plus, il fait très beau. Ce début de course est vraiment très agréable.
Le Viaduc est dans notre ligne de mire.
Nouvelle vision large du viaduc mais qui est encore loin.
Après moins d'un quart d'heure, je quitte Millau.
On longe alors le Tarn et une voie de chemin de fer, avec le viaduc au fond : j'ai adoré cette partie. (malheureusement, ces photos sont toutes un peu floues).
Le viaduc se rapproche de plus en plus. La vision est est assez impressionnante !
On arrive enfin au pied du Viaduc, avec la fameuse montée qui me faisait peur. J'ai mis un peu moins de 25 minutes pour à cet endroit là.
On monte la côte avec le Viaduc qui nous domine.
Vous voyez peut-être un point blanc au-dessus du viaduc : c'est l'hélicoptère qui suit les premiers coureurs (ou la première vague).
Ca commence à monter, mais je ne fais pas encore trop attention à la difficulté : la vue me plaît tellement !
Puis, le dénivelé augmente un peu. Certains commencent à avoir du mal. De mon côté, j'ai ralenti, mais je me sens bien.
On passe sous le Viaduc. Au loin, le paysage est également très beau.
Je trouve que le viaduc met en valeur le paysage et réciproquement.
La pente est plus dure. Plus de gens marchent pour monter ; j'arrive à me faufiler petit à petit avec d'autres coureurs plus rapides.
On aperçoit le premier ravitaillement, signe de la fin de la grande difficulé de cette course.
Je franchis cette ligne après un peu moins de 40 minutes.
Je m'arrête un peu pour boire un coup. D'ailleurs, un grand merci aux bénévoles pour tout le travail effectué qui nous a permis de courir dans de bonnes conditions.
Là, j'ai doublé un clown.
Le viaduc se rapproche, mais on n'y est pas encore. En attendant, on peut apprécier le paysage.
La vue de l'autoroute me titille : je me rapproche du but !
On aperçoit le viaduc si loin et si proche.
Pour la première fois de ma vie, j'ai couru sur une autoroute... De l'autre côté, un coureur esseulé qui a déjà fait l'aller-retour (aux environs de 10H)...
Les piles du Viaduc se rapprochent... J'y suis presque !
C'était joli cette ribambelle de couleurs :
Certains coureurs en profitent pour faire des photos.
Le paysage sur la droite est très joli ; malheureusement, la photo n'en rend pas sa beauté.
Quelques spectateurs ont réussis à se placer pour voir passer les coureurs.
J'aperçois la ligne du début du Viaduc, enfin !
Après envron 55 minutes de course, ca y est : à moi (et aux autres), le Viaduc !