Montée Piton 2015 : repérage "officiel" de l'étape 2

Dix jours après la première étape (voir article sur la Dépêche : http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/22/2109497-la-montee-du-piton-a-l-essai.html), la ville de Rodez avait organisé le repérage de la seconde étape de la Montée Piton.

Nous avions également rendez-vous à 19H au niveau du kiosque du foirail. 

Cela a été l'occasion pour moi de voir que la ville se préparer à accueillir le Tour de France (même si sur la photo, ce n'est pas très visible).

Ce soir, un autre spécialiste du trail était présent : Thomas Saint-Girons, vainqueur de la Montée Piton 2014.

J'ai reconnu quelques têtes déjà présentes il y a dix jours ; notamment une jeune femme qui avait un peu souffert, mais qui avait réussi à aller jusqu'au bout. J'ai aussi croisé une collègue de travail.

Après une petite attente, nous nous sommes dirigés vers les archives départementales, départ de la seconde étape.

 

Après une photo de groupe, nous sommes partie en direction de la salle des fêtes.

On a viré en continuant sur le trottoir.

Puis, on a traversé.

Un peu plus loin, on a tourné à droite.

On a tourné ensuite à gauche pour descendre un escalier (à la hauteur d'un chantier).

 

Après avoir traversé, on est descendu derrière un immeuble.

 

Puis on est remonté vers le boulevard.

 

Dans le virage, on a continué tout droit.

 

En bas de la côte du stade, on a fait une pause. Un membre du service des sports nous parlé un peu, avant que Thomas Saint-Girons ne donne quelques conseils. Dans cette côte, il y a une partie un peu raide et il ne faut pas hésiter à marcher, pour pouvoir se relancer quand cela s'applanie. Il a également conseillé de ne pas aler trop vite dans les premières descentes, pour éviter de casserdes fibres dès le départ. Mieux vaut commencer de manière "décontractée", avant de se lâcher davantage.

 

Cette côte est effectivement un peu difficile ; heureusement, la vue de quelques chevaux pouvait donner des forces (même si on ne pouvait pas monter dessus pour terminer la côte).

 

On est alors arrivé au stade (avec une très belle pelouse), où on a pu récupérer un peu.

 

Certains en ont profité pour prendre des photos.

 

On est passé à alors dans les couloirs du stade.

 

(non, ci-dessous, ce n'est pas un fantôme ; c'est juste une photo sans flash dans un couloir sombre, en courant).

 On est alors ressorti au niveau des Haras.

Après le portail, on a pris à gauche.

 

Puis, au bout, on a tourné à droite pour traverser une prairie.

 Il y avait une belle vue.

 On a continué sur un sentier en face.

 J'ai bien aimé cette partie "nature".

 

Il a fallu enjamber une "cloture". 

On est bien arrivé à l'endroit que j'avais imaginé lors de mon premier repérage. Les organisateurs, qui nous avait prévenu des dangers de cette partie, ont assuré notre sécurité (c'est notamment pour cela que je ne fais pas cette partie quand je m'entraîne seul).

On est passé sous le viaduc.

Puis on a pris l'escalier en direction de l'université.

 

Après une petite pause, on est reparti sur le viaduc.

Au bout, on a tournéà droite pour descendre l'escalier.

On a continué en direction de la clinique.

Je trouve qu'on a une belle d'ici sur Rodez.

On a ensuite emprunté le chemin sinueux qui passe derrière la clinique.

On s'est arrêté un peu plus loin en bas d'un grand escalier.

Thomas Saint-Girons a conseillé de monter les escaliers 2 marches par 2 ; en courant si on peut, sinon en marchant. Il est a priori préférable de marcher en montant 2 par 2, plutôt que de courir en montant une marche à chaque fois. Cela rejoint effectivement mon ressenti de mes expériences personnelles.

Il a également conseillé de les descendre 2 par 2, cela permet de gagner du temps. J'avoue être un peu sceptique par rapport à cela (pas à cause du gain du temps, mais des risques de tomber) ; je l'ai déjà fait, mais par morceaux et avec une remabarde à côté. Cependant, il a précisé qu'en se concentrant bien, et avec un peu d'entraînement, cela se fait très bien

En haut de l'escalier, on a tourné à droite pour prendre un autre petit chemin.

On va tout au bout.

Là, on arriveà hauteur d'un petit muret, d'où il faut sauter.

On traverse alors pour prendre à droite et descendre la rue.

Au giratoire suivant, il faut tourner à droite.

Mon ombre sur cette photo m'amuse beaucoup.

Cela descend jusqu'au petit pont.

On est alors arrivé au pied de la grande difficulté de cette étape ; avant de s'y attaquer, les derniers conseils nous sont prodigués (ne pas hésiter à marcher dans les portions raides, et se relancer quand c'est moins dur).

Et c'est parti !

C'est vrai que ça monte dur et que c'est raide parfois 

On arrive à hauteur de la piscine et on longe le dojo.

On est arrivé alors au pied de l'amphitéâtre. Là, c'est la partie où je m'étais trompé ; je pensais passer par l'extérieur, mais on prend finalement un escalier intérieur (le même que l'année dernière, mais dans l'autre sens). 

Là, je vais sûrement le faire en marchant !

J'aime bien la vue dans cette partie.

Puis on arrive au rond-point du l'amphitéâtre.

On passe sous le musée Soulages.

On termine par une sorte de petit tour d'honneur dans le jardin, autour du kiosque.

Enfin, nous sommes arrivés au bout. Avec nos différentes pauses et un rythme parfois pas trop poussé, nous avons mis un peu plus d'une heure pour découvrir cette étape.

 

Ce soir, nous avons eu le droit à l'arrivé à un petit verre (eau et jus de fruit). C'était un moment très convivial que j'ai beaucoup apprécié : on a ainsi pu discuter pour partager nos impressions sur ce parcours.

Un grand merci aux organisateurs pour nous avoir permis de découvrir en groupe cette seconde étape. Un grand merci également à Thomas Saint-Girons pour ses conseils.